samedi 7 décembre 2024

DIALOGUE DE LA JEUNESSE SUR LE CHANGEMENT DE LA CONSTITUTION : CÉDRIC MAYOKO EVOQUE UN EXERCICE DÉMOCRATIQUE TEL QUE PRÔNÉ PAR FELIX TSHISEKEDI

 


5 décembre 2024 sur initiative de la structure Tous pour le Congo, un dialogue de la jeunesse a été convoqué afin de débattre sur la question du changement ou de la révision constitutionnelle.

Au lendemain de ces assises, certaines langues se délient pour dénoncer cette tribune populaire disant que ce fut une kabbale montée par la Ministre de la Jeunesse, Mme Noëlla Ayeganagato.

Le Docteur Cédric Mayoko, jeune et leader de la ville de Kikwit, salue l'initiative de M. Rabbi nkulambe et rappelle que sur cette question, le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo est resté artisan de démocratie. Nullement, il n'a fait de son initiative un dictat et dans son itinérance dans le Congo profond, il ne cesse de répéter que le dernier mot reviendra au peuple, après les travaux de la commission qu'il va devoir installer. 

En outre, il faudrait signaler que, contrairement aux détracteurs de la Ministre de la jeunesse, ces assises ayant trait dans le secteur qu'elle patronne, elle a accordé l'audience à l'organisateur principal sous sa casquette d'autorité de tutelle. En aucune façon il a été question d'un financement pour contredire la personne du Chef de l'Etat. On ne peut pas vouloir prôner la démocratie et l'Etat de droit tout en fustigeant la pratique démocratie d'un sujet d'intérêt national.

Le docteur Cédric Mayoko en appelle à la conscience de la jeunesse. Un royaume divisé contre lui-même ne prospère pas : pour que la veille classe politique cède la place à la nouvelle génération, cette dernière doit faire preuve de maturité pour hériter le volant d'un si grand pays qu'est notre Congo.


La rédaction

vendredi 6 décembre 2024

CHANGEMENT DE LA CONSTITUTION, LE COLLECTIF TCC DERRIÈRE TSHISEKEDI

 


Ils se présentent liés et forts comme quatre fils d'une même corde. En commun accord, le collectif "Tous pour le Changement de la Constitution" et leurs militants  disent oui à une nouvelle Constitution.

C'est depuis le 2 décembre que quatre structures politiques notamment Agir ensemble (AEN), Dynamique pour le bien-être du Congo (DBC), le parti la République Réglementée et le Congo Fort, en conciliabule avec leurs cadres et militants ont entamé les ateliers d'études. Ce 6 décembre, ils accouché d'une déclaration commune dans laquelle, sous le format Collectif Tous pour le Changement de la Constitution "TCC" en sigle, ils dégagent des incohérences et lacunes dans la loi fondamentale et celles-ci mises en évidence comme

- définition claire du pouvoir constituan

- restructuration du conseil d'éta

- des points sensibles comme la nomination et révocation du Premier Ministre par le Chef de l'Etat, etc.

Ces quelques éléments clés qui puissent former une loi fondamentale en lutte contre les inégalités et s'adapter aux aspirations du peuple  et qui aboutiront à une quatrième république

La plateforme TCC dénonce également le laxisme du présidium de l'union sacrée dans la prise en charge de ce projet de changement de constitutio

La rédaction 

jeudi 5 décembre 2024

CHANGEMENT OU PAS DE LA CONSTITUTION, ERIC SUMBU TIRE ET MARQUE

 


"Du choc d'idées jaillit la lumière", M. Eric Sumbu a été convié afin d'être entendu au dialogue de la jeunesse autour de la question du changement ou révision de la Constitution.

Sous le chapiteau du pullman hôtel, ce 5 décembre 2024, le dialogue de la jeunesse initiée par M. Rabbi nkulambe était autour de la question épineuse autour de la loi fondamentale.

Prenant la parole, Eric SUMBU, cadre du parti AREP, a commencé par recadrer les prédécesseurs panelistes dans leurs incongruités puis a présenté via un discours armé, quelques articles qui rendent nos lois faibles. Entre autres :

La problématique de la double-nationalité et le maintien des plusieurs institutions dites budgetivores dont l'Etat pourrait s'en passer, sans oublier le droit qui doit être reconnu au Président de la République Felix Tshisekedi de nommer les gouverneurs des provinces afin de réduire le conflit entre eux et les élus provinciaux.

Au milieu des panelistes et assistante remplie des jeunes, le Secrétaire Exécutif National de la famille politique du Ministre d'Etat Guy Loando a su intervenir avec tact et argumentation.

La rédaction

EROSION À L' AERODROME DE KIKWIT, DR CÉDRIC MAYOKO INTERCÈDE

 


Comme une sentinelle au milieu de la nuit sur le ciel de Kikwit, ce digne fils du coin alerte les autorités quant à la situation du danger qui guette l'aérodrome de kikwit.

Déjà en septembre dernier, M. Michel Esungi, commandant de cet espace aéroportuaire alertait sur des constructions privées anarchiques prêt de l'aérodrome mais à présent, ce sont les catastrophes naturelles qui dérangent.

Pour Dr Cédric Mayoko, acteur social du coin et cadre du parti présidentiel : "je tiens à rappeler que kikwit est la première ville commerciale de l'espace grand bandundu et chef-lieu du Kwilu. Les autorités provinciales ainsi que le gouvernement central devraient faire de la protection de cet espace, une priorité. Une érosion à moins de 40 m c'est très risqué pour un site qui est gage d'échange commercial, une frontière sécuritaire d'une partie de la République. La question est non seulement sécuritaire mais aussi Souveraine, le Congo n'est pas que Kinshasa."

Et d'achever :

"Puisse les autorités faire de leur mieux afin que les travaux commencent avant que le Président de la République ne poursuive son itinérance au Kwilu. "

La rédaction

mercredi 4 décembre 2024

NON À UN MANDAT ÉTERNELLEMENT RENOUVELABLE DU DÉPUTÉ, CÉDRIC MAYOKO LÈVE LE TON

 


En football, le remplacement des joueurs est aussi gage de l'apport d'un nouveau système de jeu et un nouveau souffle pour l' équipe.

Le fait que les lois de la République n'aient pas limité la fréquence de renouvellement de mandat d'un député ou sénateur, prive le renouvellement de la classe politique au Congo.

L'asbl "Naza mwana campa" lève le ton et propose que désormais une loi soit mise en vigueur afin qu'un elu, national, provincial ou même sénatorial, n'ait qu'un mandat renouvelable une seule fois, à l'instar d'un Président de la République. 

Pour le Docteur Cédric Mayoko, président de cette structure :

"Ceci permettrait que la jeunesse, donc les générations qui arrivent, exercent également leur droit de sièger au Parlement et proposer. Il y a dans l'hémicycle, des députés de 2006, 2011, 2018 puis 2023, ils n'ont aucun bilan ni propositions mais s'accrochent car n'étant soumis à rien."


La rédaction

New York : à l' ONU, Georges Buya se pointe en drapeau congolais

  "Représenter la jeunesse congolaise à l’ONU est un honneur, mais aussi une responsabilité." dixit Georges Buya. Dans le cadre du...