Depuis la matinée du samedi 23 décembre, la population de la ville de Lubumbashi a remarqué une forte présence des agents de l'ordre amassés sur ses points chauds. Ceci intervient après le vote où différentes tendances placent le candidat n°20 en tête des suffrages.
Le comble : l'Etat congolais présidé par Félix Tshisekedi risque de créer une tension INUTILE là où les lushois ne prévoient rien.
Il faut rappeler qu'il y a deux ans, déjà les relations ne sont relativement pas bonnes entre le régime de Kinshasa (majoritairement luba) avec le Grand-Katanga.
Si ce n'est pas séquestration de Muyej à Kinshasa, c'est le sabotage de la clôture GLM. Tantôt c'est l'arrestation de Salomon Sk (proche des katangais) tantôt c'est la nomination de Eddy Kapend. Parlant de Kapend, son retour aux affaires a fait croire à une confrontation potentielle contre les menaces de John Numbi, un katangais... Même la campagne électorale a eu un côté tribal surtout par des discours de l'union sacrée.
Que le Président de la République ne cède pas aux renseignements trompeux. On peut tout reprocher à Moïse Katumbi, mais le Chairman n'a jamais été initiateur des troubles à l'ordre public, peu importe son desamour avec Un président en fonction. Si c'est de lui qu'il y a crainte, faut voir ailleurs.
Que les éléments militaires vident le lieu pour ne pas insinuer à un désordre post-electoral, la police saura quoi faire en cas des dérapages civiles.
La rédaction
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire