#Culture : LA D.G BARBARA MUTUND EN PÔLE POSITION DANS LA VALORISATION DU SECTEUR CULTUREL

 

À la tête du Fonds de Promotion Culturelle "FPC" depuis juillet 2023, Mme Mutund Kanam Barbara n'a ménagé aucun effort pour redorer l'image de cet établissement ; ce qui place Mme le DG en pôle position parmi les mandataires publics.

Sans pour autant résumer ce que sont ses réalisations comme Directrice Générale du FPC, l'on notera que sous sa houlette, plusieurs projets culturels ont vu le jour, bien d'autres ont été accompagnés, notamment :

1. - Création de la plateforme numérique " Congo Arts " ;

- Création d'un portail numérique afin de rendre plus accessible les informations, les actions menées et faciliter la proximité avec les opérateurs culturels et les porteurs de projets ;

2. Financement : 

- L' album sur les 40ans de carrière de l'artiste musicien Reddy Amisi ;

- 7 ème édition du festival Jazz Kiff ;

- Participation de l'INA au Festival International des Écoles Supérieures d'Arts Dramatiques (FIESAD) au Maroc via le ministère de tutelle ;

- Vernissage du livre " Les Grandes Figures du Patrimoine Artistique et Culturel de la RDC.

- Première édition de l'art au féminin, spécial subvention de 19 projets exclusivement féminins. 

3 projets en musique ;

1 projet en littérature ;

4 projets en cinéma ;

4 projets dans la mode et la couture ;

1 projet en art visuel ;

4 projets en arts scéniques ; 

3. Accompagnements des événements :

- La 1ère édition du concours Uwezo Fashion ;

- Le Concours national pour élire la représentante de la RDC à Miss Univers 2024 après une absence de 38 ans ;

- La 3 ème édition du forum Wanawake Wa AFRIKA ;

- Soirée culturelle 001 à Kolwezi ;

- Atelier de formation des femmes et jeunes filles vulnérables en arts culinaires à Bukavu ;

- Centenaire de la ville Province de Kinshasa.

Au regard de toutes ces réalisations au bout d'un an de travail, nul ne peut se douter de la vision progressiste qui anime la DG Barbara Mutund Kanam dans le secteur de la valorisation culturelle. Il faudrait donc croire aux beaux jours à venir pour la culture congolaise.

La rédaction