dimanche 31 décembre 2023

NGALASI, une prophétie accomplie dans un monde parallèle (édito)

 

Théodore Ngoy, Denis Mukwege, tous sont également PASTEURS mais aucun d'eux n'a prétendu postuler sur instruction de DIEU... même l'apôtre Paul disait "ce n'est pas le Seigneur qui dit mais c'est moi..." 

Si tu veux devenir Président, pourquoi insérer Dieu dans tes ambitions personnelles ?

Dieu ne peut JAMAIS parler à son serviteur et que la chose n'arrive pas. l'Éternel était OBLIGÉ, nous disons bien "obligé" de revenir vers NGALASI et lui dire que la prophétie a changé puis Ngalasi viendrait l'annoncer au peuple.

- Moïse, le plus grand prophete hebreux, insista en PRIÈRE pour que Yahweh le permette de voir la terre promise mais Dieu lui répliqua "Assez, ne me parle plus de cette affaire".

- Jésus fils de Dieu, pria pourque la coupe de sa crucifixion soit éloignée, mais sans succès.

C'est seulement au Congo où on pense que toute prophètie de Dieu peut être modifiable selon les humeurs des prières à Luzizila. 

Pouvons-nous dire que Aggrey NGALASI ne voulait plus devenir Président, il pria pour que la prophétie ne soit plus accompli ? 

Un serviteur de Dieu ne doit pas être orgueilleux. Il faut revenir auprès des fidèles et demander PARDON pour avoir calomnier l'Eternel des armés.

Peuple de Dieu, TOTIKA FANATISME, le salut est individuel mais l'enfer est collectif.

La rédaction

La réaction de FAYULU après publication de la CENI

 

Comme en 2018, l'homme de la vérité des urnes n'a pas encore fini avec le contenu des urnes. Après la proclamation victorieuse de Félix Tshisekedi par la Ceni, le Président de l'Ecidé déclare :

"Je rejette catégoriquement le simulacre d’élections et les résultats farfelus de la #CENI. Je demande au peuple congolais de protester contre ce nouveau coup d’Etat en application de l’article 64 de notre Constitution."

Voici les 4 points de la déclaration commune de l'opposition



Les opposants au régime Tshisekedi, en unité de circonstance, disent :

📝Rejeter les élections du 20 décembre ;

📝Exiger l'organisation des nouvelles élections;

📝Appeller à la mobilisation générale du peuple Congolais; 

📝Demander au peuple de revendiquer sa victoire électorale.

Pour rappel, dès 13h, le Président de la CENI rendra publique les résultats définitifs de l'élection présidentielle 

La rédaction

jeudi 28 décembre 2023

Politique : Marie Josée IFOKU, sollicitée par Katumbi mais nouvelle recrue de Félix Tshisekedi ? (Édito)

 

Photo d'illustration

En pleine campagne, il avait fait part à son électorat de Mbandaka qu'il souhaitait s'entourer des meilleurs ; et si Mme Marie Josée Ifoku en faisant partie ?

Pour son second mandat, Félix Tshisekedi chercherait les pièces rares, même au-delà de sa cour royale. 

Selon les informations en notre possession, de possibles passerelles seraient en cours de construction entre la candidate à la Présidentielle Mme Marie Josée Ifoku et Félix Tshisekedi, le favori à la course électorale.

Sauf qu'à défaut de la considérer comme conquise au Camp du pouvoir, l'on renseigne que le camps Katumbi voit également en la dame, un leadership éclairé qui pourra soulever les femmes du pays pour des causes des revendications électoralistes.

D'après lecture des certains analystes politiques, la récente et dernière sortie médiatique de la Gouverneure honoraire de Tshuapa en dit long : Elle a paru tendre envers la Commission Électorale Nationale Indépendante et plutôt pacifique face aux résultats déjà amorcés par la CENI plaçant Tshisekedi largement en pôle position, attitude qu'on ne rencontre guère dans le chef d'une candidate qui proposait avec critiques farouches, le contraire de ce que l'Union sacrée a fait, 5 ans durant.

Toujours selon les analystes du troisième œil en politique, la vision tant vantée par Mme IFOKU (Kombolisation, rupture contre la prédation politique) présente des similitudes avec les dires de "Fatshi Beton" mais avec des termes divergents (plus rigueur avec la justice, bonne gouvernance, sanction des récalcitrants, etc.). Donc en fervent défenseur des qualités managériales du genre féminin, Félix Tshisekedi viendrait à tendre la main à Mme Ifoku et celle-ci ne saurait tenir en haleine le Président de la République plus longtemps car n'ayant pas voulu se rallier au candidat n°20 ni au candidat n°3 par stratégie politique afin d'être pesée à sa juste valeur dans l'éventuelle perspective que le Palais de la Nation ferait appel à elle, sans devoir fermer la porte au Camp de l'opposition.

 La rédaction

Élection : Les points phares du rapport de la Cenco - Ecc

 


Ils avaient prévenu "mieux vaut se sacrifier pour la vérité que de sacrifier la vérité". La mission d'observation électorale par les deux églises ont rendu leur rapport. Dans les grandes lignes, les princes d'églises retiennent :

- expression d'allégresse au Gouvernement de la République pour n'avoir pas coupé Internet et les SMS comme c'était le cas dans le passé ;

- la Cenco et L'ECC reconnaissent qu'à l'issu du vote, un candidat s'est démarqué avec plus de la moitié des suffrages à lui seul ;

- la MOE exhorte la CENI à ne publier les résultats provisoires que sur la base des résultats consolidés de tous les Centres Locaux de Compilation des Résultats ;

- la CENCO-ECC constate qu’un candidat s’est largement démarqué des autres, mais insiste sur de nombreux cas d’irrégularités susceptibles d’affecter l’intégrité des résultats de différents scrutins, en certains endroits.

Et pour finir, les princes d'églises attestent :  la prise en compte des irrégularités documentées par les instances ci-haut citées constitue un gage pour l’acceptation des résultats par le public et pour garantir au mieux la paix,

La rédaction

lundi 25 décembre 2023

Élection : Pourquoi les jours du scrutin sont-ils prolongés ? Kadima répond

 


Depuis le centre BOSOLO, lieu de compilation progressive des résultats à la Présidentielle, les journalistes approcherent Denis Kadima. À la question de savoir si l'on continue à voter ? Le President de la Ceni declare :

"Le plus important est de ne pas trop s'attarder sur le fait que nous ayons étendu (le vote) au-delà du premier jour. Si nous ne l'avons pas fait, il y aurait des partis qui nous attaqueraient en justice parce qu'ils n'auraient pas atteint le seuil".

"Donc, ce n'est pas question de respecter religieusement une date, mais c'est question de respecter les droits de chacun. Si on est au-delà de la loi, on n'est pas au-delà de la Constitution. C'est la constitution qui nous oblige à permettre à tout Congolais d'exprimer son choix". poursuit le Patron du scrutin.

"Que chacun se demande quel est le moindre sentiment mal :Est-ce le fait de respecter une date ? Ou de permettre à tout le monde de participer au processus électoral ?, Si on répond à cette question, on va se calmer ;

Donc, on va voter tant qu'il y aura des électeurs.

Mais, c'est une infime minorité qui est en train de voter en ce moment. C'est un groupe qui ne va pas influencer les résultats".

À la réplique au cardinal Ambongo qui parle de désordre. Kadima atteste :"si désordre il y a, ce désordre n'est pas organisé par nous "

Par le journaliste Barick Buema

dimanche 24 décembre 2023

Lubumbashi : Tensions post-electorales, Voulues ou provoquées ?(édito)

 


Depuis la matinée du samedi 23 décembre, la population de la ville de Lubumbashi a remarqué une forte présence des agents de l'ordre amassés sur ses points chauds. Ceci intervient après le vote où différentes tendances placent le candidat n°20 en tête des suffrages.

Le comble : l'Etat congolais présidé par Félix Tshisekedi risque de créer une tension INUTILE là où les lushois ne prévoient rien. 

Il faut rappeler qu'il y a deux ans, déjà les relations ne sont relativement pas bonnes entre le régime de Kinshasa (majoritairement luba) avec le Grand-Katanga.

Si ce n'est pas séquestration de Muyej à Kinshasa, c'est le sabotage de la clôture GLM. Tantôt c'est l'arrestation de Salomon Sk (proche des katangais) tantôt c'est la nomination de Eddy Kapend. Parlant de Kapend, son retour aux affaires a fait croire à une confrontation potentielle contre les menaces de John Numbi, un katangais... Même la campagne électorale a eu un côté tribal surtout par des discours de l'union sacrée.

Que le Président de la République ne cède pas aux renseignements trompeux. On peut tout reprocher à Moïse Katumbi, mais le Chairman n'a jamais été initiateur des troubles à l'ordre public, peu importe son desamour avec Un président en fonction. Si c'est de lui qu'il y a crainte, faut voir ailleurs. 

Que les éléments militaires vident le lieu pour ne pas insinuer à un désordre post-electoral, la police saura quoi faire en cas des dérapages civiles.

La rédaction

samedi 23 décembre 2023

Élection : BANDAL, NGOBILA ET MPAYI, TOUS CONTRE MUYAYA

 

"C'est à la récréation que nous sommes mélangé, si non quand sonne l'heure, chacun regagne sa classe", adage que l'on peut attribuer à l'Union sacrée.

Au sein de la mangeoire du régime au pouvoir, c'est tous pour Fatshi puis chacun pour soi, surtout aux législatives.

A Bandalungwa par exemple où beaucoup de poids lourds sont en compétition, le gouverneur sortant Ngobila qui est aux nationales et son neveu Lévy Mpayi aux provinciales n’ont comme bête noire que Patrick Muyaya Katembwe

Selon nos confrères de scoop.rdc, le patron de la ville et son jeune neveu sont dans la logique de monter la population contre Patrick Muyaya très bien positionné dans les tendances de vote à la Funa, l’accusant faussement d’avoir disposé des machines à voter et d’avoir bourré les urnes. 

Accusation sans preuve mais distillée pour décrédibiliser un challenger de taille, gênant et aimé, le permanent Muyaya azala azala.

Qui vivra verra et qui restera Débout vaincra, il faut noter que le Porte-parole du Gouvernement est dans la course pour sa 3e législature.

La rédaction

vendredi 22 décembre 2023

Élection : Quand Didi Manara dit, Ngoy Mulunda contredit

 

Il n'a pas attendu deux jours pour répliquer aux propos du 2e vice-président de la CENI. Lui c'est Ngoy Mulunda, patron de la Centrale electorale en 2011.

Le Pasteur Ngoy Mulunda declare :

"Les élections de 2011 se sont déroulées en un jour, l'unique date du 28/11/2011. C’est par contre les publications des résultats par bureau qui se sont faites en deux jours. Nous sommes l’unique bureau qui a publié les résultats par bureau de vote. Corrigez s’il vous plaît"

Ces propos de l'ancien patron de la Ceni contredisent l'adjoint de Kadima qui affirmait que ce n'est pas une première qu'en RDC, le vote se fasse pendant 48h.

D'ailleurs, il faut noter que d'après le journaliste Gauthier Sey, ce vendredi 22 décembre donc 3e jour, le vote se poursuit à Idiofa.

La rédaction

jeudi 21 décembre 2023

La ceni viole-t-elle la loi en prorogeant le jour du vote ? Réponse de Me Willy Wenga

 


"La CENI viole-t-elle la loi en ramenant le vote jusqu'au lendemain de la date butoire?"

Sur cette question de Top CONGO, Me Willy wenga avocat au barreau de Kinshasa/Gombe parle d'une décision par équité.

Selon le juriste, il n'existe à ce jour aucune source du droit qui condamnera la CENI. La loi portant fonctionnement de la Centrale electorale, voire la loi électorale delimite un temps nécessaire pour que le droit de vote de chaque électeur soit respecté, c'est par décision que la Ceni a fixé pour 11h. Ainsi, tout prolongement relèverait d'un "cas de force de majeur" (raison que pourrait brandir la Ceni en cas de contentieux) et par équité comme source de droit, la CENI pourrait se justifier disant que les électeurs sont tous égaux donc doivent voter et ce peu importe la date.

Pour la journée fériée, l'Etat a pris cette mesure pour simple raison de commodité pour que le travail ne soit pas un obstacle au vote. Du fait que la majorité des votants se sont rendu au vote hier, la journée prolongée donc ce jeudi, n'a pas raison d'être chomée et aucune sanction n'a été prévue pour ce cas.

La rédaction

mardi 19 décembre 2023

Foot : VITA CLUB A UN NOUVEAU PRÉSIDENT

 

La cérémonie s'est tenu dans la salle Showbuzz. Comité dirigeant de l'As Vita-club vient d'élire, à l'issue de l’Assemblee Générale Extraordinaire et élective, à l'unanimité, Mr Amadou Diaby comme Président de la Coordination du club vert et noir.

Le successeur de Bestine KAZADI, connu pour son expérience en mécénat musicale, ce qui lui a permis de rassembler le groupe mythique Wenge 4x4 pour une présentation au Stade des Martyrs, DIABY est, selon certaines sources, le représentant d'une filiale Turque, derrière la direction des dauphins noirs.

La rédaction 

lundi 18 décembre 2023

Candidature de MUKWEGE, Tysia Mukuna pour une vérité compatissante sur le mauvais timing du Prix Nobel

 


Rare de la voir se prononcer sur des questions politiques moins encore sur des candidatures électorales mais, cette fois Mme Tisya Mukuna s'ouvre sur ce qu'elle juge de mauvais Timing de l'entrée de Mukwege en politique.

Pour la CEO de la société LA BOÎTE :

"Je pense que son calcul a joué en sa défaveur. Il aurait été opportun d'apparaître aux élections 2028 comme acteur politique.

C'est un travail progressif pour établir des bases solides, aligner des candidats à la députation afin de démocratiser son programme et sa vision, parcourir le Congo pour une campagne de proximité sur le temps et non sur un mois ce qui est court car beaucoup de personnes dans les villages et provinces ne le connaissent pas.

Il aurait egalement profiter de ce temps pour mobiliser des soutiens financiers mais aussi pour avoir une vrai équipe de communication presse et terrain. Le Docteur aurait dû prendre le temps du mandat 2024 pour faire sa sortie politique et se présenter aux élections prochaines!

Et la responsable du Café La Kinoise de conclure :

Aux prochaines élections, il aurait pu jouer une carte intéressante d'outsider mais aussi de renouveau. Il s'est présenté au mauvais timing et sans assise.

Il faut vite qu'il sorte de la plainte et des lamentations de cette campagne pour garder une image forte de lui. Sinon les gens vont l'associer à sa propre turpitude »

La rédaction 

dimanche 17 décembre 2023

#Religion : DALO et TATU, Fausses prophéties ? (Édito)

 


Dans les lignes qui suivent, il ne sera en aucun cas question de remettre en cause l'authenticité de leur ministère. Le Dieu du ciel, a accepté, en dépit des anges à son service, d'etablir ses lois et sa volonté sur la terre en utilisant des hommes imparfaits. Même Moïse ou Jean Baptiste les plus grands, ont eu leur moment de faiblesse.

MAIS... Si quelqu'un comme Paul, le plus grand de tous les apôtres, pouvait dire "ce n'est pas le Seigneur mais c'est moi qui dit..."(1 cor 7), réalisant qu'il ne peut pas inclure Dieu dans son point de vue personnel, comment les pasteurs d'aujourd'hui peuvent-il avoir ce courage d'engager Dieu dans une prophétie et un délai mensongers ? (Dt 18:22)

Quelques-uns de nos fidèles abonnés nous brandissent l'exemple du Roi Ezechias... c'est différent !

En effet Esaie n'avait même pas encore franchi la cour royale que Dieu lui renvoya dire à Ezechias qu'il ne mourra plus. Même pour Jonas, Dieu le mandata encore pour annoncer la miséricorde à Ninive.

Mais le Problème avec Apôtre Dalo et Joël Francis, avant la fin de l'an 2023, aucun de ces deux ministres n'est revenu pour dire aux Congolais que Dieu aurait changer d'avis donc : aucun candidat Président ne mourra (Dalo) / les élections auront lieu (TATU).

C'est le peuple qui s'étonne en voyant 2023 finissant mais aucune prophétie n'a eu lieu. Donc Ezechias azo kamwa ndenge aza en vie alors que ba jours ezo pusana. Nzambe abosani ?

Ce qui revient à conclure, en harmonie au passage Jérémie 29:9, que lesdites prophéties n'ont été que fruit d'UNE ANALYSE POLITIQUE CHARNELLE, dite derrière la chaire.

Bonus : Quand Dieu prophétise, il y a accomplissement à 99%, Dieu ne change pas d'avis; autrement que Roland Dalo nous dise quel est ce candidat qui a prié pour qu'il ne soit pas sur une chaise roulante ?

La rédaction

samedi 16 décembre 2023

Nangaa et M23, Pourquoi NAÏROBI ?

 


C'est par ces photos d'illustration que tout congolais doit dorénavant comprendre, sans atermoiement , que le cercle de EAC est composé de Loups et le fait d'y avoir adhéré a été l'un des gros pièges du quinquennat de l'actuel Président de la République.

Impossible de soutenir qu'en novembre 2018, ce fut Nairobi qui parraina l'accord entre Félix Tshisekedi et Vital Kamerhe; et ce que bcp n'ont pas eu à remarquer : le CACH qui, actuellement, dirige le Congo est fruit d'une coalition qui naquit sur le sol étranger dans la partie Est d'Afrique (regorgeant une population tutsi).

Aucun Tshisekediste, même le plus fanatique qui soit, ne saurait expliquer par quelle alchimie, le Kenya, grand ami du Congo à travers ses présidents dont Kenyatta et Ruto, a permis à deux individus congolais former une coalition politico-militaire avec but de tu€r les congolais en agressant la RDC, pays qui venait de faire appelle à l'Eac pour la restauration de la paix, EAC dont est membre le Kenya.

Le Président Tshisekedi est-il conscient de la gravité de tous les sourires accordés à tout voisin de l'Est ? Faut-il rappeler ici que notre adhésion à l'EAC a été rendue possible grâce à la permission de Kagame auprès de qui Fatshi Beton adressa une correspondance sollicitant son parrainage ?

En depit du retour de la force régionale dans leurs pays respectifs, quel est ce Ministre qui est passé à la télévision nous faire nettement le bilan donc l'apport de la force régionale à l'Est. Qui de Bunagana ou de Kishishé ?

Que l'opinion se fixe une idée...

FAILLITE DE LA SNCC, KATUMBI N'ÉPARGNE PAS TSHISEKEDI

 


Accordant une interview au média panafricain Jeune Afrique, Moïse Katumbi répond à une question de grande polémique qui avait porté sur l'accusation du Président Tshisekedi sur la situation de la SNCC.

 Q/En retour, le président Tshisekedi conteste votre bilan de gouverneur, Vous avez, selon lui, mis la Société nationale des chemins de fer du Congo (SNCC) en faillite…

Et moise katumbi de répondre : “C’est la preuve qu’il ne connaît pas ce pays. La SNCC est tombée en faillite en 1984. J’avais 20 ans à l’époque. À cet âge-là, j’ai donc coulé cette société ? S’il m’attaque ainsi, c’est parce qu’il n’a pas de bilan”

jeudi 14 décembre 2023

Élection : bien qu'en prison, Mike Mukebayi bénéficie encore de la confiance de sa base

 


En prison ou en liberté, lorsque la base te porte à cœur, la réussite est assurée.

C'est le cas de la campagne du député Provincial Mike Mukebayi Nkoso qui connait une franche réussite grace à la population de son district électoral, Lukunga.

Fait marquant, en date du mercredi 13 décembre, une immense foule conduite par l'indomptable Marley Vuvu a envahi la résidence de l'elu de Lingwala avec chants et visuels en mains, sous le regard satisfait de Mme Cocote, épouse du député Mike. 

Pour le sulfureux analyste Vuvu :" cette invasion de la population à la résidence de Mukebayi est un témoignage de l'attachement de ses électeurs et leur souhait renouvelé de le voir cette fois-ci à l'assemblée nationale."

La rédaction

mercredi 13 décembre 2023

"Les incidents arrivés à Moanda démontrent la faiblesse de nos adversaires " Moïse Katumbi

 


Moïse Katumbi, challenger à la Présidentielle 2023 raconte les circonstances des incidents survenus à Moanda pendant qu'il s'adressait à la foule venue l'écouter.

Sur son compte X, le candidat n°3 déclare :

Au moment de quitter la terre du Kongo Central, je remercie les populations qui, tout au long de ma tournée, m'ont réservé un formidable accueil. 

Les graves incidents qui ont émaillé la rencontre de Moanda démontrent la faiblesse de nos adversaires qui sont gagnés par la peur de perdre le pouvoir. Je salue toutes les personnes qui ont été victimes des violences provoquées par les criminels qui portaient les symboles d'un parti de la majorité. Les images, les tirs à balles réelles de la police, et les témoignages confirment que ces incidents ont été programmés, planifiés et orchestrés avec une volonté d'aller au crime. Dieu en a voulu autrement. 

Les instigateurs des évènements de Moanda doivent être identifiés, poursuivis et sanctionnés. 

Afin de ne pas céder à de nouvelles provocations, je prends la décision de suspendre momentanément ma rencontre avec les populations de Kananga et de Tshikapa, depuis trop longtemps abandonnées à elles-mêmes sans eau ni électricité. Elles doivent savoir que le 23 janvier 2024, je consacrerai toutes mes forces et toute mon énergie à améliorer leur vie et celle de tous nos compatriotes. Je m'interdis d'exposer nos populations à la folie des ennemis de la liberté. Rien ni personne ne pourra jamais justifier qu'une seule goutte de sang congolais soit versée au cours de cette campagne électorale pour conserver le pouvoir..."

La rédaction 

Le 19 décembre, date de l'annonce du Report des élections ? (tribune du journaliste Gramic Legrand)

 


Il ne faudrai pas être un devin pour comprendre que la date du 20 décembre prévue dans le calendrier des scrutins cumulés de la Ceni, ne tiendrait pas. En effet, en ce jour étaient prévues les élections combinées de la présidentielle, des législatives nationales et provinciales et des municipales. 

Un scrutin lourd et compliqué, qui demande énormément en terme de logistique et d’organisation. Mais pourtant, la Ceni de Kadima n’a pas les deux en ce moment où le gouvernement s’essouffle à lui effacer l’ardoise des 380 millions exigés par la centrale au gouvernement, il y a 2 mois. 

Pire, le gouvernement est focalisé sur l’armée qui à l’Est et dans le

Grand nord, doit s’organiser pour contrer les attaques du m23 et des adf. Ces opéra militaires coûtent énormément et le trésor public congolais qui depuis mi juin, ne travaille que sur base de « tiroir caisse », selon un conseiller au cabinet du ministère des finances. 

Les hélicoptères et avions demandés par la Ceni au gouvernement, traîne encore et le gouvernement espère en une aide de certains pays voisins dont l’Angola notamment, seul pays restant ami de la RDC actuellement. 

À ces difficultés s’ajoutent le transfèrement du matériel commandé par la Ceni en Corée du Sud. Des machines à voter et des kits qui devront être ensuite dispatcher sur l’ensemble du territoire national. Et à cette date, aucune de ces machines n’est arrivé à kinshasa, le hub de répartition. 

Pour le reste des provinces, il y a eu des lots de machines qui ont été déployés. Provenants pour un bon nombre des machines reconditionnées de nangaa lors des élections de 2018. Mais selon certains experts, ces machines ne repondnent qu’à 60% et risqueraient de tomber en panne durant la journée même du vote puisque fortement sollicitées par les électeurs. 

À ces difficultés énormes s’ajoutent celles liés au fichier électoral. Voulàt changer de système d’exploitation de ses bases de données et de son fonctionnement, la Ceni de Kadima a mis en place un autre logiciel de configuration nouvellement acquis. Et lors du changement, énormément de données lié à la cartographie et au fichier électoral ont été perdues. Cette information non assumée officiellement, passe pour vrai d’autant plus que certains électeurs en utilisant l’application de la Ceni, ne retrouvent pas leurs noms ni bureau de vote associé à leurs cartes d’électeurs. 

De tout ce qui précède, meme si Kadima avait une rallonge de 10 jours, il ne pourra pas relever ces défis de si tôt. Ou alors, il produirait aux congolais une élection des plus chaotiques que l’Afrique post conférence nationale souveraine ait connue. Et tout ceci aurait coûté aux congolais 1 milliard de dollars. 

De quoi avoir le tournis. 

Certains analystes se demandent si de Kadima et de Tshisekedi qui serait tenu pour responsable de ce débâcle électoral ? L’un et l’autre, nous a répondu un analyste pour qui, Kadima aurait pêché par manque de lucidité et de vérité dans sa démarche, promettant l’impossible juste pour faire du politiquement correct. Et Tshisekedi, du fait d’avoir écarté le besoin du consensus demandé à corps et à cris par la classe politique, et aussi, par la léthargie de son gouvernement, qui n’a financé le processus que de manière séquencée. 

La date du 19 décembre, jour de la fin de la campagne électorale, serait donc choisie par la Ceni pour annoncer ce report inexorable. Car interrompre la campagne électorale serait réveiller la colère des candidats qui ont énormément dépensé. 

Reste à savoir si la classe politique hostile à Félix Tshisekedi, notamment le FCC, ne va pas profiter de ce moment de glissement de 10 jours pour exiger tabula rasa ? Et demander au même moment le départ de Tshisekedi ? 

L’avenir nous dira quoi.

Professeur Labana vient de traverser

 

Le Professeur Labana Lasay Vient de tirer sa révérence ce mercredi 13 décembre à Kinshasa.

Lasay Abar, professeur ordinaire et Recteur honoraire de l'université de Kinshasa, il a été spécialiste en relation internationale et politique étrangère de la Rdc. Il est aussi doyen de la faculté des sciences politiques et administratives à l’université de Kinshasa.

mardi 12 décembre 2023

Music: RSA, LOLIWE s'en est allé

 


La chanteuse multi-primée Zahara (de son vrai nom Bulelwa) est décédé. 

La vedette s'en est allé hier lundi soir dans un hôpital privé de Johannesburg. Son fiancé Mpho Xaba était à son chevet.

Autrice du single à succès "Loliwe" a été hospitalisé il y a deux semaines pour des complications hépatiques. Une source proche du musée a déclaré à Sunday World que la cantatrice sud-africaine a traversé son Jourdain avant 21 heures.

La rédaction

lundi 11 décembre 2023

Élection : face à l'incapacité de Denis Kadima, Marie Josée Ifoku apporte sa formule magique paliant à une crise electorale

 


Il faut dire que la candidate n°9 à la Présidentielle a toujours eu des jokers pour débloquer le jeu. Toujours dans son combat contre le système de Prédation politique, Mme Marie Josée Ifoku revient cette fois-ci avec une proposition paliant à l'incapacité technique de la centrale Électorale.

Pour l'ancienne Patronne de la province de la Tshopo, après le passage du n°1 de la CENI, Denis Kadima sur top congo FM, il est clair que les jours sont comptés et que c'est impossible de tenir les élections dans le délai. Ainsi, pendant que Denis Kadima devra déclarer officiellement son incapacité, Marie Josée Ifoku propose une transition de 3 ans à condition que ceux qui vont animer l'appareil de l'Etat en cette période charnière ne soient pas candidats au prochain scrutin, ceci pour éviter le partage de gâteau.

La Présidente Nationale du parti AENC devra rentrer sur les ondes de la fréquence utile pour mieux éclairer la lenterne de la population au sujet de sa proposition de voie de sortie d'une crise electorale.

La rédaction 


dimanche 10 décembre 2023

"OPONA NGA" chanson Gospel ou mondaine de Héritier Wata (édito)

Pour son nouvel album (CDG), l'artiste Héritier Wata surprend et reserve pour son Dieu, Jésus, un opus titré "opona nga". Faut-il l'écouter tout en étant chrétien ?

Déjà, il faut savoir que Dieu avait tout prévu lorsqu'il disait :" que tout ce qui respire loue l'Éternel", donc Si Wata respire, il accomplit son Devoir. Héritier a fait mieux que IPUPA qui de manière imbécile, déclare :"bisou eleki verset biblique na effet"

Tout bon chrétien est guidé par l'Esprit -saint qui donne L'ÉQUILIBRE et non l'extrêmisme. Si on estime que les mots de la chanson peut bénir l'âme, chacun est libre d'écouter parce qu'après tout, le chant "JOYEUX ANNIVERSAIRE " est chanté par tous alors qu'il n'a pas été composé pour Dieu...

mais tout en étant conduit par le Saint-Esprit, il faut savoir qu'il y a une différence entre UNE CHANSON INSPIRÉE DE DIEU et UNE CHANSON QUI A DIEU COMME THÈME.

Souvent les artistes exploitent différents thèmes : l'amour, les élections, le pays (patriotique) et même Dieu.

Par exemple, la chanson "Elongi ya Jésus" de Papa Wemba parlait de DIEU comme thème mais pas comme entité à louer.

Nous vous disons toujours que Satan ne connait pas un autre métier à part être pasteur. Lucifer prêche la bible chaque dimanche à la différence qu'il ne va pas répéter mot à mot le conseil de Dieu.

Faut-il jouer cette oeuvre de Wata à l'église ? JAMAIS... Car de la même source on ne peut avoir de l'eau douce puis du liquide empoissonné.

La rédaction

vendredi 8 décembre 2023

« Les élections risquent d’être reportées », Analyse du Journaliste Gramic Legrand

 


Tout le monde, le peuple et les personnalités politiques, s’attendent à ce qu’il y ait élection en date du 20 décembre. Cette date répond à l’impératif constitutionnel qui consacre un temps de 5 ans à chaque mandat. Mais la frayeur persiste, Denis Kadima laisse planer le doute qui devient évidence à ce jour.

Et depuis le premier cycle de 2006, c’est seulement en 2016 qu’il y a eu, ce qu’on a appelé un glissement de deux ans. En cause à l’époque, la guerre contre le m23 en 2012, puis l’effondrement des taux des matières premières entre 2013 et 2015 qui aurait plombé l’économie du pays, empêchant le gouvernement à financer un processus facturé en milliard et enfin l’absence d’un fichier électoral fiable.

Des éléments présentés à l’époque comme des contraintes, par le gouvernement de l’AMP puis du FCC ensuite. Mais cette fois, Kadima et son équipe pensent mener convenablement le bateau. Malgré une difficulté logistique manifeste et palpable. Ce qui oriente certains analystes à penser que le timing ne sera pas tenu, et que les horloges vont être déréglées pour le mois d’ensuite, pour certains optimistes, et le trismestre d’après, pour les plus negativistes. En cause, plusieurs éléments plaident pour ce report. 

D’abord, la Ceni n’a jusque là pas obtenu le rallonge des 380 millions de solde de facture demandé au gouvernement. Un montant qui aurait permis cette fois, d’utiliser des avions pour acheminer le matériel électoral à temps pour respecter les dates.

Sérieusement en difficulté à cause de la baisse des activités économiques, les caisses de l’état affichent rouge. 

De l’autre côté, le casse tête des cartes d’électeurs qui risquerait de mettre de côté près de 20 millions d’électeurs enrôlés car la qualité n’ayant pas été au rendez-vous. 

Pour cette moitié d’électeurs, soit les cartes sont devenus illisibles, rendant leur identification impossible, soit alors ils ne se retrouvent pas dans le fichier électoral, conséquence d’un bugg informatique que la Ceni n’avoue pas jusqu’à aujourd’hui selon certains experts. 

Lorsque ces derniers se rendent pour obtenir un duplicata, c’est de l’argent qui leur ai demandé, ce qui rend cette opération difficile pour ces congolais qui ne vivent pour une grande majorité, qu’à concurrence de 1$ le jour. 

Une telle cacophonie, serait hautement conflictogene d’autant plus que le jour du vote, la Ceni ne pourrait pas empêcher à un congolais de voter, en arguant l’illisibilité de sa carte alors que c’est de la faute de la Ceni.

Une vraie embrouille en découlerait et ça serait déstabilisant pour bon nombre de bureau de vote. 

Pour certains candidats, ils accuseraient même la Ceni de profiter de ces impressions de duplicata pour faire un nouvel enrôlement. 

Une attitude dangereuse qui serait de nature à faire rejeter les résultats des élections. 

Pour finir, le casse tête logistique. Hier encore, le président de la Ceni aurait adressé une correspondance au chef de l’état pour lui demander de l’aide en mettant à la disposition de son institution 10 hélicoptères et 4 avions gros porteurs. Une logistique que la RDC n’a pas, et devrait solliciter au près de ses pays amis qui malheureusement, ne sont qu’à compter du bout des doigts. Et tout ça, à une semaine d’un scrutin tant attendu. 

La question est de savoir si la Ceni malgré tout ceci, dans le seul soucis de sauver un régime devrait sacrifier le pays et lui faire encourir des risques d’implosion suite à des électeurs sans carte mais devant voter, suite à des machines non déployés, suite à des bureaux de vote non équipés. Aux politiques de penser et de lever une option qui sauverait la nation et lui éviterait le chaos. 

Que la Ceni prenne sa responsabilité et dise la vérité aux congolais, surtout, qu’elle règle le problème des cartes d’électeurs défectueuses, mal imprimées malgré près de 800 millions de dollars pris des caisses de l’état. On ne peut pas, a dit un analyste, prendre l’argent du contribuable a une telle hauteur, puis pondre un travail à la limite ridicule, parlant des cartes d’électeurs. 

L’avenir nous en dira plus.

Gramic LE GRAND

jeudi 7 décembre 2023

ÉLECTION CE 20 DÉCEMBRE, SUR UN PLATEAU DE TÉLÉ, KADIMA PLUS HÉSITANT QUE JAMAIS


Jadis rassurant et confiant, aujourd'hui face à la très ravissante Cleopatre Iluku , Denis Kadima s'est montré tiède et hésitant.

Le Président de la centrale Électorale, parlant de déploiement des matériels, évoque le poids du coût à chaque voie empruntée, fluviale ou aérienne, et cerise sur le gâteau... rappelle plus d'une fois que son bureau et lui, ont été installés avec 28 mois de retard donc, selon ses mots : "le temps est tjr une denrée rare dont nous ne faisons que courir derrière"

Et pour finir, Denis Kadima declare :"il faut toujours faire avec ce qu’on a; le gouvernement a plein de dépenses à faire, nous ne sommes pas la seule activité, il y a aussi l’insécurité à l’est et la vie continue ... Les élections n’arrêtent pas la vie…" 

La rédaction 

mercredi 6 décembre 2023

ETRANGER QUI PARLE SWAHILI, KATUMBI RÉPLIQUE À TSHISEKEDI

 


Reponse du berger à la bergerie, le match amical devient s∆nglant. Le candidat 3 n'a pas traîné pour égaliser contre Mukwantombs.

"Moïse Katumbi tacle Félix Tshisekedi à Kikwit : « Parce qu’il n’a pas de bilan, le nom de Moïse Katumbi est devenu son bilan, leur slogan, leur fond de commerce. Ici à Kikwit, il n’a rien fait. Le projet Kakobola dont il se vante est un vieux projet initié par son prédécesseur ».

La première

lundi 4 décembre 2023

Zambie : mwenya, opposant zambien émet des doutes sur la nationalité de KATUMBI

 

Les affinités de l'opposant congolais Moïse Katumbi avec la nation zambienne refait surface et cette fois-ci, ce n'est pas par les laboratoires du régime Tshisekedi mais d' un opposant de Lusaka.

À en croire nos confrères de infos.cd, En Zambie, l’opposant Mwenya Musenge, secrétaire général du NDC, soupçonne l’homme politique congolais, Moïse Katumbi, d’avoir détenu un passeport zambien ainsi qu’une carte d’enregistrement nationale verte du CNRC.

Ce qu’il ne sait cautionner, considérant que « la Zambie ne devrait pas être utilisée comme un refuge pour les étrangers ».

Si Mwenya Musenge dit n’avoir « rien de personnel contre Moïse Katumbi en tant qu’individu », il ne s’empêche cependant d’exiger du ministre zambien de l’Intérieur, Steven Kampyongo, des enquêtes pour que « l’authenticité de cette affaire soit immédiatement clarifiée ».

La rédaction 

Élection Présidentielle : Marie Josée Ifoku, une femme, pourquoi pas ? (Édito)

 


Sommes-nous le premier à le penser ? Pas du tout ! Cette probabilité a d'ailleurs été pensée puis formulée comme souhait par l'actuel Président de la République, Félix Tshisekedi lors de ses différentes prises de parole. Il a souhaité voir une femme lui succéder au Palais de la Nation. Et si c'était maintenant ?

Mais il ne suffit pas ici d'être de sexe opposé, le mérite doit se constater au temps que la féminité. Une fois de plus, après 2018, Marie Josée Ifoku s'aligne dans la course à la présidentielle ; son vœu se traduit par un programme, la Kombolisation, entendez : Rupture d'avec le système de Prédation.

Pour nombreux qui trouvent encore que le besoin d'une femme à la Présidence semble trop beau pour être vrai, il y a lieu de rappeler que Marie Josée Ifoku était le nom qui revenait le plus pour être placer à la tête du gouvernement de l'Union sacrée. Pourquoi diriez-vous ? Sa personnalité et sa vision de l'homme congolais de demain.

Ifoku est ancienne Patrone de la Province de la TSHOPO, après un temps, contrainte de rendre le tablier de Gouverneur car ne voulant pas tremper dans l'affairage politique, du business au détriment des gouvernés. Elle est une personne pieuse, servante de Dieu et initiatrice de plusieurs programmes à l'échelle nationale dont EKOKI, expression populaire de ras-le-bol contre le massacre de la population congolaise de l'Est de la RDC. Cerise sur le gâteau, son offre politique "La Kombolisation" cap vers la rupture propose 7 piliers majeurs pour que l'homme congolais soit transformé puis transforme l'administration, dans tous les domaines.

Ce n'est donc pas un rêve de trop, car Angela Merkel, l'ancienne chancelière allemande était femme mais a su élever l'Allemagne, première économie européenne, à une hauteur qui transcende tout sexisme. Sur les pas des grandes femmes congolaises, telle que Philomène Omatuku, qui eurent à travailler dans des moments difficiles de l'histoire, Mme Marie Josée Ifoku, fort de son expérience de gestionnaire internationales entre trois continents, elle a la carrure et une vision claire pour redonner la grandeur à la patrie.

La rédaction

Scrutin : Pourquoi Andy Bemba propose un report des élections ?

 

À quelques jours de la date butoire du vote en République démocratique du Congo, Andy Bemba propose un idée qui, pourrait bien faire parler plus d'un.

Selon ce politique originaire de l'espace Grand Equateur, l'Etat désastreux des cartes d'électeurs concourent à un chaos qui ne dit pas son nom. Sur son compte X il déclare :

"Le site Ceni RDC mobile ne reconnaît même pas ma carte. Nous nous dirigeons vers un chaos électoral que la Ceni aura créé. Des millions de Congolais risqueraient de ne pas voter (désavantage) et ce sera un fiasco. Pensons à un léger report, il n’est jamais trop tard pour bien faire "

Et d'ajouter :

"Certains compatriotes pensent qu’on s’attaque au pouvoir quand on parle de la Ceni qui demeure 1 commission indépendante. Le chaos électoral ne profitera à personne même pas à mon Candidat Fatshi20 ni à moi qui suis aussi candidat. Problèmes d’obtention d duplicata et logistique."

La rédaction 

dimanche 3 décembre 2023

Élection : BOKETSHU SOUTIENT LA CANDIDATURE DE MUKWEGE

 


Difficile pour lui de s'afficher clairement et publiquement derrière un politicien congolais mais en depit des enjeux électoraux, Boketshu finit par déclarer sa flamme.

Le musicien et parmi les figures emblématiques du phénomène combattant de la diaspora, Boketshu dit Wa yambo venait de déclarer à travers une vidéo sur sa chaîne Youtube soutenant la candidature du Docteur Denis Mukwege, le candidat n°15 aligné à la course pour la présidentielle de décembre 2023.

A en croire ce compagnon du commandant Esso à la langue de vipère, Denis Mukwege est le seul qui a pu palper les peines et atrocités des femmes utilisées comme arme de guerre à travers viol. Avec son offre politique basée sur les 3 F dont Fin de guerre, fin de faim et fin des vices, Wayambo trouve ce programme totalement adapté à la situation désastreuse que traverse le Congo de Mobutu.

Pour rappel, 3 principaux blocs se dessinent face au scrutin : l'union sacrée avec Tshisekedi, Congo ya makasi avec Katumbi et Fayulu - Mukwege qui n'ont pas encore annoncé une quelconque Coalition.

La rédaction 

MOMBELE : Elie Nkumbi donne le ton, les habitants suivent le rythme et lui assurent la victoire


Ce fut le soir, toutes les maisons de Mombele vidées, les occupants sont partis écouter un homme; tel un pasteur, Elie Nkumbi parle, MOMBELE entend.

Pour cette partie de Limete, le candidat député national N°19 Mont Amba et député provincial N°04 Lemba, a fait carton plein à Mombele face une base unanime comme une chorale. Devant la multitude présente à l'appel, Elie Nkumbi Wa Nkumbi candidat n°19 de Mont-Amba, a présenté les axes prioritaires de son action parlementaire, à savoir l'emploi des jeunes, l'autonomisation économique des femmes, l'eau et l'électricité.


La messe étant dite et tout joyeux, les habitants du quartier chaud de la commune de Limete n'ont retenu qu'un seul chiffre, le 19 pour un candidat qui incarne des lois votées pour l'émergence de la base.

La rédaction

vendredi 1 décembre 2023

Indignation des communicateurs de l'Union sacrée : Me Samuel Kanza porte-parole du parti AREP refute totalement sa participation.

 


Une intention manifeste de nuire ouvertement déclarée, le chantage a choisi la mauvaise personne.

Sur une déclaration écrite qui circule sur la toile et présentée à l'opinion comme document d'indignation des communicateurs de l'Union Sacrée sur le Directeur de campagne du Président de la République, Me Samuel Kanza a été désagréablement surpris de voir son nom sur la fameuse liste des mécontents communicateurs. Chose grave, une signature à côté de son nom alors que ce cadre du parti AREP de Me Guy Loando n'est concerné ni de près ni de loin.

Se confiant à notre rédaction, le porte-parole du parti AREP atteste se réserver le droit de saisir la justice contre tout individu qui aurait apposé son nom et une signature fabriquée, s'exposant donc à l'infraction de faux en écriture.

Il confirme par ailleurs intervenir dans les médias parlant du bilan positif du Président Félix Tshisekedi dont il croit fermement sans rétribution pécuniaire aucune.

La rédaction 

CHANGEMENT DE LA CLASSE DIRIGEANTE = OPPORTUNITÉ DE RELEVER LES DÉFIS DU PROGRÈS ET DE LA SÉCURITÉ EN RDC

Le renouvellement de la classe dirigeante en RDC représente une opportunité de progrès significative pour notre Nation confrontée à la pauvr...